Canada | V.O. française | 2016 | 93 min | DCP | couleur | Fiction | Première mondiale
Un caméraman est envoyé dans un village du Nunavik pour tourner des images d’archives pour le gouvernement libéral. Se liant d’amitié avec une famille inuite, il s’imprègne des traditions. Parallèlement, il apprend que l’on devra déporter le village et ses habitants en raison d’exploitations minières. Confronté à son employeur et à son ex-copine, le caméraman remettra en question ses propres idéaux et le but véritable de sa venue en ces terres.
Ce docufiction est une sorte de pamphlet politique et poétique marquant le deuxième volet d’une série de 5 films tournés sur 5 continents. À quelle heure le train pour nulle part (2009) représente l’Asie. Tuktuq (caribou) évoque l’Amérique. GPHQ
Distribution
Réalisation |
Robin Aubert |
Musique |
René Lussier, Pilou |
Photographie |
Robin Aubert |
Scénario |
Robin Aubert |
Interprétation |
Robin Aubert, Jessica Arngak, Timothy Etidloie, Minnie Arngak, Peter Arngak, Brigitte Poupart, Robert Morin |
Production |
LYNX FILMS |
Distribution |
K-FILMS AMÉRIQUE |